Dans les années 60, George GOODHEART (médecin chiropracteur américain) utilise le test musculaire dans un but thérapeutique en y ajoutant des notions de médecine chinoise, de chiropractie, d'ostéopathie, d'acupuncture et de naturopathie.
Il met en évidence que les processus intérieurs du corps et du système nerveux se répercutent sur l'état fonctionnel des muscles (un gros choc, stress, qui vous "coupe les jambes" littéralement, par exemple) et développe une façon radicalement nouvelle de considérer le muscle : la KINÉSIOLOGIE APPLIQUÉE est née.
Par la suite, son collaborateur John F. THIE crée en 1967 le TOUCH FOR HEALTH (TFH), puis d'autres viennent s'intéresser à la Kinésiologie comme Gordon STOKES, Daniel WHITESIDE et Candace CALLAWAY qui créent le THREE IN ONE CONCEPTS (TIOC), et qui incluent dans la Kinésiologie la notion d'émotion.
Paul DENNISON fait un travail remarquable sur les difficultés d'apprentissage et crée l'ÉDU-KINÉSIOLOGY (Brain Gym®).
Bien d'autres encore apportent une pierre à l'édifice, comme Franck MAHONY, Bruce et Joan DEWE ainsi que le docteur Jimmy SCOTT avec son travail sur les allergies.
Du grec kinêsis (mouvement), étymologiquement « Kinésiologie » signifie étude du mouvement.
Elle nous permet donc de « bouger » dans tous les sens du terme, tant sur le plan physique que psychologique, de déceler des blocages, de libérer l'énergie et d'harmoniser l'individu à l'aide du test musculaire.
Elle peut aussi être utilisée lors de difficultés d'apprentissage, de douleur, de blessure physique et émotionnelle, de stress, de problèmes de poids, d'allergie ou d'insatisfaction dus à des schémas répétitifs.
De plus, elle permet d'explorer les événements du passé qui peuvent avoir mis en place nos comportements actuels.
La kinésiologie combine des techniques issues de la chiropractie, de la médecine chinoise, de l'ayurvéda et de la psychologie notamment. Son principe fondamental est le lien entre le corps (structurel), les émotions (biochimie) et le mental (énergétique et électrique).
© Leticia COLÓN
Le test consiste à placer un muscle dans une position de contraction et d'effectuer un mouvement, de manière à l'amener à l'extension.
L'affaiblissement du tonus musculaire indique que la circulation de l'énergie est perturbée. Le but n'est pas de tester la force mais de vérifier si les circuits neurologiques sont connectés ou non. On teste donc le temps de réponse (latence) du muscle.
Si la personne gère la situation, le test reste fort ; dans le cas contraire, le muscle ne tient pas.
C'est un langage qui nous donne accès à l'information nécessaire pour atteindre l'équilibre dans différents domaines tels que la structure (les os, les muscles, etc), la biochimie (nutrition par ex) et l'émotionnel (stress, peurs,...).
En kinésiologie, une fois les déséquilibres (physiques, émotionnels, énergétiques) liés à l'objectif initial corrigés, nous pouvons alors "mettre à jour" le schéma qui s'était inscrit dans votre corps et qui provoque ces déséquilibres dans votre quotidien : s'il s'agit d'un trauma, nous pouvons alors prévoir de dédier des séances en EMDR-DSA® pour approfondir la désensibilisation et le retraitement, sinon nous poursuivons avec la kinésiologie.
Nous sommes tous différents, nos besoins sont différents, et notre rythme pour intégrer les nouvelles informations est différent aussi pour chacun d'entre nous : les résultats d'une séance peuvent aussi bien être ressentis au bout de quelques semaines, que bien plus tard, au bout de plusieurs séances.
Il n'y a donc aucun nombre de séances "nécessaires" défini à l'avance, vous êtes responsable de votre santé, de vos besoins : si vous souhaitez poursuivre cette forme de thérapie par le corps, vous pouvez poursuivre les séances.
Je vous conseille toutefois de démarrer avec 2 ou 3 séances, pour que vous puissiez prendre conscience des changements qui se sont opérés en vous au bout de 4 à 6 mois. Ecoutez votre intuition !
A noter que chaque séance de kinésiologie est espacée d'au moins 4 à 6 semaines, afin d'intégrer les "mises à jour" dans votre corps.
© Leticia COLÓN
Pour votre bien, je vais refuser de faire un accompagnement en cas de problématiques de fond psychiatrique ou psychotique (paranoïa, schizophrénie, etc), car je ne suis pas formée à cela (risques de décompensation).
Voyons ensemble quel accompagnement sera le plus adapté à vos besoins.
Par téléphone au 07.49.11.73.72, ou directement par internet :